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dimanche 16 octobre 2016

Les entreprises veulent une Europe plus dynamique : Compte-rendu du European Parliament of Enterprises 2016

european_parliament_of_enterprises_announcement    Bruxelles, 13 octobre 2016

 

Les entreprises veulent une Europe plus dynamique

 

Les entrepreneurs sont bel et bien engagés face aux décisions de l’Europe. Mais pour les entrepreneurs, ce n’est pas toujours aussi clair si l’Europe s’occupe de ce qui concerne les entreprises. C’est la conclusion après le quatrième European Parliament of Enterprises, une journée au cours de laquelle les chefs d’entreprise issus de toute l’Europe s’emparent du Parlement européen à Bruxelles et y débattent de sujets qui préoccupent directement leur entreprise.

 

EUROCHAMBRES, l’association des Chambres de Commerce européennes, souhaite au travers de cette initiative, rapprocher l’Europe des entreprises et montrer aux responsables politiques ce que vivent les entrepreneurs. Parmi eux, se trouvaient 25 Belges, rassemblés par les différentes Chambres de Commerce belges. Pour eux, c’était l’unique occasion de faire entendre leur voix et de dire ce qu’ils attendent de l’Europe.

 

Les entreprises ne veulent pas plus ou moins de l’Europe, ils veulent une Europe plus dynamique. A la question de savoir si le marché intérieur de l’Europe est suffisamment intégré, la réponse était un « non » énergique. Le marché unique européen, c’est un pas en avant, un pas en arrière. La lente et parfois incomplète transposition des lignes directrices européennes en est un des grands coupables, tout comme la tendance de nombreux états membres d’incorporer lors de la transposition des règles supplémentaires, entraînant de facto la création de nouvelles frontières commerciales.

 

Les entreprises européennes ne sont pas seulement préoccupées par le marché intérieur, mais aussi par le marché extérieur. Si cela dépend des entrepreneurs, les accords commerciaux avec le Canada (CETA) et les Etats-Unis (TTIP) doivent arriver. Ces accords sont surtout une bénédiction pour les PME, parce que les accords sur les normes et standards techniques peuvent leur faciliter l’accès au marché. Elles n’ont en effet pas les moyens de suivre les différences dans la règlementation et les normes, ni en UE, ni dans les pays tiers.

 

Qu’il s’agisse de l’économie circulaire, du marché du travail ou de l’accès au financement, le fil rouge pour les entrepreneurs est le même: ils demandent que les responsables politiques, pas seulement en Europe mais aussi de leur propre pays, tiennent compte, lors de la prise de décisions, de l’impact sur la compétitivité des entreprises.

Les informations sur l’European Parliament of Enterprises: http://www.parliament-of-enterprises.eu

4 sessions de réflexion étaient organisées : Commerce – Marché intérieur – Durabilité – Formation et enseignement. Voyez ci-dessous dans la page, les résultats des votes pour chaque thématique.

 

La CCIBW est accréditée par la Fédération des Chambres de Commerce belges :

La Fédération des Chambres de Commerce belges rassemble sous sa coupole les 14 chambres de commerce en Belgique et défend 26.000 entreprises. EUROCHAMBRES est l’association européenne des Chambres de Commerce. Elle répercute les intérêts de plus de 20 millions d’entreprises issus de 45 pays européens au travers d’un réseau de 2000 Chambres de Commerce locales.

www.belgianchambers.be

 

epe-2016

Résultat du vote

 

SESSION 1 – COMMERCE

 

  1. Les entrepreneurs sont-ils suffisamment au courant des implications commerciales des accords commerciaux que l’Europe conclut ?

NON: Les responsables politiques européens ont encore beaucoup de travail pour parvenir à une meilleure politique commerciale étant donné qu’une majorité des entrepreneurs indiquent qu’ils ne voient pas les avantages des accords commerciaux que l’Europe conclut. Ceci est un avertissement clair adressé aux politiciens de travailler en plus étroite collaboration avec les entreprises, de sorte que les avantages n’existent pas seulement sur papier, mais soient traduits en jobs et en croissance économique pour les citoyens et les entreprises.

 

  1. Est-ce que les PME doivent obtenir une voix plus forte dans la politique commerciale européenne?

OUI: C’est avec une écrasante majorité que les entrepreneurs ont voté en faveur de l’obtention d’une voix plus forte des PME dans la politique commerciale de l’UE. Les entrepreneurs croient clairement que des efforts supplémentaires doivent être fournis pour rendre la politique commerciale accessible aux entreprises et pour impliquer les PME à la politique commerciale. Les négociateurs des accords commerciaux doivent avoir l’attention attirée sur les besoins spécifiques des PME et doivent faire suffisamment participer les représentants de ces PME aux négociations. Une application stricte du principe « think small first » dans les accords commerciaux pourrait déjà être un bon début.

 

  1. L’octroi du statut d’économie de marché à la Chine aura-t-elle des conséquences néfastes pour les entreprises européennes ?

OUI: Les entreprises se préoccupent des conséquences néfastes qu’elles peuvent subir une fois que la Chine peut bénéficier du statut d’économie de marché. Pour une majorité des entreprises, c’est absolument nécessaire que les responsables politiques conservent des instruments commerciaux qu’ils possèdent pour protéger les entreprises concernées du dumping et des subsides possibles de la part de la Chine. Le défi pour la Commission européenne sera de prendre en considération dans sa décision les intérêts d’une minorité considérable d’entrepreneurs qui sont en faveur de l’octroi du statut d’économie de marché à la Chine.

 

  1. Y a-t-il besoin de règles d’origine simplifiées de sorte que les entreprises puissent mieux profiter des avantages des accords de libre-échange ?

OUI: Bien que les règles d’origine ne soient pas à priori le sujet le plus sexy qu’il soit pour les négociants, elles sont une partie cruciale dans l’implémentation des tarifs douaniers pour les entreprises. Les entreprises soutiennent clairement aujourd’hui que le système actuel des règles d’origine dans les accords commerciaux doit être simplifié. Dans le cas contraire, les entreprises – et en particulier les plus petites entreprises – obtiendront des avantages insuffisants de la libéralisation des tarifs que l’Europe négocie. Il ne serait en effet pas dans l’intérêt de l’Europe de convenir de règles d’origine qui ne sont pas bénéfiques de nos entreprises.

 

  1. Est-ce qu’une politique commerciale de l’UE efficace est importante pour la compétitivité de nos entreprises, au vu des critiques actuelles sur les accords commerciaux avec les US (TTIP) et le Canada (CETA)?

OUI: Le commerce est important pour toute entreprise! Aujourd’hui la grande majorité des entreprises sont favorables à une politique commerciale de l’UE dynamique. Les entreprises reconnaissent l’intérêt des accords commerciaux que l’Europe négocie au nom de tous les Etats européens. Les entrepreneurs sont convaincus qu’un commerce équitable et équilibré fonctionne et contribue à la compétitivité de nos entreprises dans une économie de plus en plus mondiale.

 

 

SESSION 2 – MARCHE INTERIEUR

 

  1. Est-ce que les gouvernements en font suffisamment pour affronter le problème des paiements tardifs par les autorités?

NON: Une majorité des entreprises considère que le règlement européen concernant les paiements tardifs a peu d’impact. Cela démontre que le comportement de paiement est plutôt une conséquence d’une culture d’affaires déterminée, de conditions économiques et de rapports de force que de législation, et que par conséquent, il doit être plus fait pour combattre ces causes que le règlement actuel.

 

  1. Est-ce que le Marché unique est suffisamment intégré de sorte que les entreprises peuvent opérer librement et être compétitives à travers l’Europe ?

NON: Cette voix négative démontre que les entreprises voient peu ou pas d’amélioration par rapport à 2014 lorsque la même question fut posée. Cela confirme que la Commission doit accélérer ses plans pour créer un vrai Marché unique. La transposition lente et souvent incomplète des lignes directrices, l’insuffisance de nombreux instruments de politique et la perduration de certains obstacles au commerce et à l’investissement sont des éléments qui, seuls ou en combinaison de chacun, empêchent les entrepreneurs de s’adapter pleinement au potentiel d’un marché unique.

 

  1. Est-ce que les dérogations administratives, législatives ou fiscales découragent les entreprises à croître ?

OUI: Avec leur OUI, les entrepreneurs envoient un signal fort : pour les politiques en Europe et dans les états membres, les PME doivent être la norme et pas l’exception. Puisque les PME représentent 99% des entreprises dans l’UE, il est crucial que la législation soit écrite à partir de leur point de vue, et ce conformément au principe du « think small first ». Dans ce sens, des exemptions – et les incitants négatifs en matière de croissance des entreprises qui créent parfois involontairement ces dernières – sont superflues.

 

  1. Est-ce qu’un manque d’information sur les règles et exigences est un obstacle important pour faire des affaires dans d’autres états membres européens ?

OUI: Les dirigeants d’entreprises mettent en évidence massivement qu’il y a encore un long chemin à parcourir pour aider les entreprises au niveau de leur expansion internationale au sein de l’UE. L’enthousiasme d’une entreprise pour offrir ses produits et services au-delà des frontières, est facilement atténué une fois que la portée complète des différentes règles locales se manifestent. Les plus petites entreprises n’ont pas les moyens de s’occuper de l’actuelle mosaïque de règles. Tant que le marché unique manque, les entreprises ont tout au moins besoin d’informations précises et concises sur les règles et exigences locales.

 

  1. Les entreprises cherchent leur financement dans toute l’UE, pas seulement dans leur propre pays.

MITIGE: Cette opinion divisée reflète un paysage financier européen diversifié. Une meilleure connexion entre les fournisseurs financiers et les PME en Europe permettra aux PME de se financer à l’étranger et de trouver des ressources pour investir et générer de nouveaux emplois et de la croissance économique.

 

  1. Les commerçants en ligne doivent-ils pouvoir être obligés de vendre aux consommateurs de toute l’UE ?

NON: Les entreprises dénoncent avec un NON qu’elles tiennent à leur droit pour conclure ou pas un contrat. Cette liberté est momentanément menacée par la proposition de règlement de geoblocking. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles les entreprises choisissent de ne pas être actives sur certains marchés et donc ne veulent pas y vendre. Une obligation de vendre créerait des incertitudes juridiques involontaires, ce qui est surtout préjudiciable pour les plus petites entreprises.

 

SESSION 3 – DURABILITE

 

  • Les audits énergétiques doivent-ils être une obligation pour les PME?

NON: Les entrepreneurs sont clairement opposés aux audits énergétiques obligatoires pour les PME. Bien que les petites entreprises apprécient l’existence et la promotion des normes et des instruments de gestion, elles trouvent que c’est le chef d’entreprise lui-même qui doit pouvoir décider quel instrument il utilise. A la place des audits obligatoires, les entrepreneurs croient qu’une meilleure efficience énergétique peut être atteinte plutôt par un meilleur soutien financier et par plus de consolidation des connaissances.

 

  • Les régimes d’aides nationaux sont-ils un instrument approprié pour soutenir les sources d’énergie renouvelables?

NON: Le vote réaffirme l’intérêt d’une harmonisation des régimes d’aides nationales. Les entrepreneurs sont convaincus que seule une approche européenne coordonnée peut mener à des gains de productivité importants, parce que les investissements auraient lieu de cette manière dans ces zones géographiques où les conditions climatiques et environnementales peuvent garantir un plus grand impact économique.

 

  • L’économie européenne profitera-t-elle des règles proposées dans le Paquet « économie circulaire » ?

OUI : La voix positive confirme que les entrepreneurs souhaitent fermer le cercle. Ils considèrent que le Paquet économie circulaire contient des éléments essentiels qui puissent générer une économie circulaire. Les institutions européennes doivent maintenant implémenter la stratégie en legislation qui bénéficiera l’environnement mais créera également des emplois et une croissance économique.

 

  • Les projets de normes en matière d’environnement plus complexes mineront-ils la compétitivité des produits européens ?

OUI: Une majorité des entrepreneurs craignent que les normes de design exagérées puissent nuire aux capacités innovatives réduisant ainsi leur compétitivité face aux entreprises étrangères. C’est pourquoi il est crucial de trouver un bon équilibre entre les normes et la liberté d’un entrepreneur qui lui permet d’être innovatif et de concevoir des produits uniques et de qualité.

 

  • Croyez-vous qu’il y a une demande croissante de produits verts?

OUI: La voix positive confirme que le marché des marchandises respectueuses de l’environnement croît et que les consommateurs ne cessent de préférer les produits verts. Pour continuer à soutenir cette tendance, l’UE et les états membres devraient encore augmenter leurs efforts pour promouvoir un style de vie durable, parce qu’une forte demande est le vecteur le plus efficace pour les investissements verts.

 

  • Devrait-on introduire des critères environnementaux obligatoires dans les adjudications

OUI: Une majorité des entrepreneurs européens veut que les critères environnementaux intègrent les adjudications publiques. Cela montre aussi que la plupart des entreprises sont prêtes à mettre à disposition les informations sur les normes de durabilité de leurs produits et processus. Dans certains cas, la prise en considération de « critères verts » confèrera un avantage concurrentiel par rapport aux producteurs de pays tiers.

 

SESSION 4 – ENSEIGNEMENT & FORMATION

 

  1. Apprendre en milieu de travail devrait-il faire partie intégrante de toutes les formations professionnelles

OUI: Les entreprises européennes soutiennent complètement l’idée de reprendre l’apprentissage en milieu de travail comme partie intégrante de toutes formations professionnelles. Cela souligne l’intérêt que les entreprises portent à la combinaison de la théorie à l’expérience pratique. Peu d’étudiants, même en formations professionnelles, ont à présent la chance de passer du temps en entreprise. C’est pourquoi des mesures nécessaires doivent être prises pour augmenter l’attractivité et la visibilité de l’apprentissage en milieu de travail. 

 

  1. Seriez-vous prêt d’offrir un stage ou un contrat d’apprentissage dans votre entreprise à un demandeur d’asile ?

OUI: La grande majorité des dirigeants d’entreprise en Europe est prête à accueillir un demandeur d’asile dans son entreprise. D’ailleurs, certains le font déjà. Outre l’aspect humanitaire, les entrepreneurs sont pleinement conscients que les demandeurs d’asile offrent un potentiel pour leur entreprise pour pourvoir à certains postes vacants et toucher des compétences spécifiques. A cause des changements démographiques, plusieurs états membres sont en effet confrontés à la problématique des métiers en pénurie.

 

  1. Est-ce plus difficile de trouver du personnel avec les compétences adéquates qu’il y a cinq ans ?

OUI: En comparaison avec 2010, plus d’entrepreneurs votent « OUI » à cette question. Cela indique une divergence croissante entre la demande et l’offre de compétences et sur l’échec clair de la politique d’emploi. L’UE continue à faire face à des chiffres élevés de chômage, certainement parmi les jeunes.

 

  1. Est-ce qu’une “garantie de compétences” est un instrument efficace pour diminuer le chômage ?

MITIGE: Le vote mitigé montre que les entrepreneurs sont parfaitement conscients du nombre élevé d’adultes faiblement scolarisés, mais ils sont vraisemblablement pas convaincus que la nouvelle « garantie de compétences » récemment établie par la Commission européenne fonctionnera et pensent que celle-ci pourra créer de fausses attentes.

 

  1. L’entreprenariat doit –il faire partie des plans d’enseignement à tous les niveaux de l’enseignement formel?

OUI: Les participants à l’European Parliament of Enterprises sont fortement convaincus que cela vaut la peine d’investir dans la formation d’entrepreneuriat. Ils demandent un engagement clair des états membres pour reprendre les compétences entrepreneuriales dans tous les plans d’enseignements, et ce, déjà à partir de l’école maternelle. L’entreprenariat est en effet une compétence qui peut être apprise et qui est pratique à chacun, pas seulement aux futurs entrepreneurs.

 

  1. Est-ce le manque de transparence entre les systèmes de qualifications nationales a un effet dissuasif pour engager des personnes d’autres états membres ?

OUI: Le résultat du vote souligne que les différences entre les systèmes d’enseignement et de formation dans l’UE rendent la tâche compliquée aux entrepreneurs pour pouvoir correctement évaluer la connaissance et les compétences des personnes avec une qualification issue d’un autre pays. Plus d’efforts sont nécessaires pour améliorer la transparence entre les qualifications des différents états membres, aussi bien pour la formation générale que pour les formations professionnelles. Cela augmentera certainement la mobilité au sein de l’UE et rétablira l’actuelle inadéquation dans les compétences, ce qui permettrait à baisser le chômage et améliorer la compétitivité des entreprises en Europe.

 

 

Contact: Wouter Van Gulck, Directeur général – Federation des Chambres de Commerce belges

 +32 (0)499 59 39 77     –     wvangulck@belgianchambers.be

www.parliament-of-enterprises.eu

#EPE2016

 



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